mercredi 3 décembre 2014

Ce que je vois



Ce criquet de Madagascar est un excellent exemple d'aposématisme, c'est-à-dire qu'il annonce sa toxicité avec ses couleurs vives. C'est pas de moi; c'est ce qui est écrit sur ce panneau de l'expo-photo consacrée aux couleurs de la faune, le long de la grille du Jardin du Luxembourg. Pour ceux que l'entomologie intéresse. Moi, on aura beau me saturer les couleurs, les insectes je trouve toujours ça dégoûtant. #cequejevois #paris

2 commentaires:

barijaona a dit…

Il y a peut-être là une généralisation hâtive entre tous les insectes. La vue d'une libellule fait-elle le même effet ?

À force de fréquenter les sauterelles, on s’y fait…

Mon nom est Paul a dit…

Désolé, c'est une limitation personnelle.

Je comprends qu'on puisse être fasciné par ces bestioles, et les trouver belles. Mais je n'y arrive pas.

D'un autre côté je ne vous demanderai pas d'apprécier toute la splendeur des algorithmes de gestion boursière qui, moi, me fascinent.

Chacun son truc.

Merci de votre visite sur mon blog.